Le Itounes aléatoire comme ambiance. Jusqu’ici Marie Laforêt, sa version de Paint it black, Vesoul de Brel et là commence Summertime version Janis et Hendrix. Je viens de m’ouvrir une bouteille de Quintas da Roas, le petit rouge portugais du temps. Je me suis allumé de quoi m’excuser, si je vais en politique un jour.
Il fait frais, on endure une laine et même un polar bientôt. L’aléatoire me gâte. Sensation de Rimbaud version géniale de Charlebois. Le soleil commence à être bas, il se couchera dans deux heures. L’été est vraiment passé. Des corneilles croassent et se répondent dans le quartier. Personne autour, en fait il y a probablement moins de monde dans les cours voisines que sur n’importe quel sentier du Mont Orford.
Suivi la catastrophe trop appréhendée de l’ouragan Rita. Quel contraste avec Katrina. On avait tiré les leçons de l’improvisation la Nouvelle-Orléans quoique la situation de Houston était moins risquée. Le maire était moins pittoresque aussi, une tête de bureaucrate compétent qui répond par un yes maaam avec l’accent chantant du sud.
Je serais curieux de faire un saut au Yul blog d’octobre, question de voir des bloggueurs que j’aime bien. Il y aura Laurent d’Embruns que je lis depuis longtemps et les adieux de Karl que je regarde plus (J’aime ses photos) que je lis, n’entendant rien aux technicalités webbiques, heureusement entourées de poésie. Mais bon, pas évident de faire l’aller retour Sherby Mourial que cela implique. Mais ça me tente.
Ce doit être un signe.
On enregistre sur la clef USB à 17h 40
Aucun commentaire:
Publier un commentaire