Il y manque de sens parfois.
J'en ajoute comme je peux.
En voici, vieux souvenir du temps où le pensionnaire que j'étais ne comprenais pas trop pourquoi j'avais été parachuté dans ce collège de pensionnaires assez ruraux. Il me souvient d'avoir entendu cette chanson pour la première fois dans la cour de récréation, une journée où je m'ennuyais. Merci aux gens de la radio du séminaire.
1 commentaire:
Sublime Ferré. Rien n'est en vain, Chaouin. Merci d'être là.
Publier un commentaire